PERLUCINE

PERLUCINE

Histoire

Perlucine est une marque ingénieuse. En 2014, Stéphanie Dabin et Patrice Rouaud crée Perlucine à proximité de zones conchylicoles, sur Saint André des Eaux en Loire Atlantique, avec l’idée d’être facilitateurs de recyclage de ressources marines considérées comme déchets. Avec le réchauffement climatique une orientation vers de l’éco-conception afin d’avoir un impact positif sur l’environnement leur est apparu comme essentiel au lancement d’une nouvelle marque: le duo se concentre sur une réflexion autour d’une économie responsable, zéro déchet, avec l’inspiration du biomimétisme et du recyclage. Chaque année, des tonnes de coquilles sauvages s’échouent au même endroit sur les plages bretonnes du Morbihan (plus de 900m³ ramassé chaque année). Grâce à une filière de collecte locale (associatifs, ESAT et entreprises collaboratives), Perlucine donne une seconde vie aux matières premières de l’Océan que sont les coquilles d’huîtres blanches en les intégrant dans des soins de cosmétique et d’hygiène. Ainsi que les coquilles de moules, de saint-jacques et l’argile marine. Les coquilles sont utilisées dans des secteurs variés : cosmétique (pigment, exfoliant, opacifiant, dentifrice, reminéralisant, …), plâtre biosourcé, lunette de soleil, peinture naturelle de façade, plastique biosourcé, écloserie, verre marin, céramique, substrat dans agriculture suspendu, alimentation de reptile, … Leur composant remplace parfaitement le carbonate de calcium.

Engagements

Perlucine est facilitateur de recyclage en étant producteur et fournisseur d’ingrédients issus de ressources marines en valorisant des co-produits (ingrédients considéré comme des déchets) avec : une filière de collecte,

  • des procédés de transformation à adapter,
  • des analyses poussées pour identifier les ingrédients,
  • des certifications et contrôle de leur manière de produire et avoir des certifications reconnus puis
  • proposer une matière première prête à l’emploi  conforme aux besoins de secteurs pointus pour faciliter l’éco-conception en favorisant le recyclage.

Exemples d’utilisation de coquilles :

  • Coquille saint-Jacques= pour en faire du Whiteshell
  • Moule: elle crée des problème sanitaire quand elle est enfoui en terre. Perlucine l’a récupère pour en faire du Musselshell (avec des traitements qui change les charges minérales pour différentes utilisations industrielles)
  • Coquille d’huitre dans la zone ostréicole.

Dans une démarche zéro déchet, les emballages sont uniquement en matériaux recyclables et naturels.

Leurs ingrédients

Perlucine récupère les coquilles partout où elles sont considérées comme déchets : industrie agro-alimentaire, ancien marais salants, plages des stations balnéaires, sous-tailles de production.

Grâce à un process bas carbone, les ressources marines sont valorisées pour en faire des ingrédients qui répondent à des chartes très exigentes en matière d’éco responsabilité.

Par exemple les coquilles d’huîtres. Problématique : beaucoup de coquille dû au perte lors de production (50% de larve sont rejetées dans l’océan) et une accumulation de coquillage sur plage. Des plages sont encombrées de coquilles qui pose des problématiques sanitaires et peut être inconfort pour les baigneurs (coquilles tranchantes). Donc les municipalités doivent appliquer un nettoyage qui protège la biodiversité tout en proposant des plages accueillantes (900m cube de de coquilles par an retiré en une année). A la période hivernale, Perlucine collecte maximum 10 tonnes des coquilles d’huitre les plus blanches possibles avec des associations, ESAT et entreprise collaboratives locales. En sélectionnant une coquille très propre, cela évite de la transformer et diminue donc l’impact carbone. Puis phase de lavage, séchage naturelle et transofmration en différente granimétrie. Sa grande pureté permet d’être utilisé en complément alimentaire.

Les +

Pour chaque produit Perlucine acheté, la marque revers 0,50 € à l’association RespectOcean.

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